En 2001, l’écrivain Phil Marso nous invitaient à réfléchir à la relation que nous entretenons avec notre téléphone mobile en acceptant de nous en passer une journée, puis trois à compter de 2004.
Non sans humour, il a choisi le 6 février, jour de la Saint-Gaston, en référence à Nino Ferrer qui chantait : « Gaston y’a l’téléfon qui son, Et y’a jamais person qui y répond ».
Il faut le reconnaître, nous avons désormais beaucoup de mal à nous passer de notre téléphone. On parle même de nomophobie pour désigner la peur d’en être séparé.
Je ne fais pas exception à la règle, tandis que vous êtes peut-être en train de me lire sur un petit écran !
Pourtant, n’étaient les obligations professionnelles, pour quelques jours, ce serait tellement agréable de le ranger dans un tiroir et de retrouver la liberté de jadis.
J’ai même envie d’ajouter un défi supplémentaire : profitons-en pour écrire une vraie lettre à quelqu’un que nous aimons.
Je ne saurais trop vous suggérer de glisser une carte buissonnière dans l’enveloppe !
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