Jusqu’au 27 janvier, le musée de l’Orangerie offre à Amélie Bertrand son « Contrepoint contemporain » aux nymphéas de Monet :
Avec « Hyper Nuit », l’artiste nous invite dans un jardin aux couleurs saturées jusqu’au vertige. Des fleurs ou feuilles de nénuphars, comme en lévitation, se mêlent à des motifs géométriques de notre époque, comme chaînes, carrelage et grillage.
En hommage à ces extraordinaires « jeux formels de peinture », quelques cartes buissonnières aux nymphéas pop :