C’est le jour du trèfle dans le calendrier républicain !
Lors de l’exposition que le musée de l’Orangerie a consacrée au marchand-collectionneur allemand Heinz Berggruen, j’ai remarqué une constante dans les natures mortes de Picasso comportant une carte à jouer : il s’agit toujours de l’as de trèfle !




C’est également le cas pour celles-ci, vues au musée Picasso de Paris et à l’Albertina de Vienne :


Encore quelques illustrations :




Je n’ai pas trouvé d’explication à ce choix, mais on peut penser qu’il est lié à l’élégance graphique du motif du trèfle.
C’est en tout cas pour cette raison que je l’aime sur mes cartes buissonnières :
