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Depuis quelques mois, je vous présente chaque mercredi ou presque un motif japonais géométrique, afin d’en explorer la signification.

Aujourd’hui, je vous propose un petit rappel de ces motifs sous forme d’index, avec le lien vers l’article détaillé :

Amime (mailles)
Asanoha (chanvre)
Fundo-tsunagi (poids reliés)
Hishi (losanges)
Ichimatsu (carrés)
Igeta (dièses)
Kagome (vannerie)
Kanoko (taches de faon)
Kanzemizu (eaux tourbillonnantes)
Kikko (hexagones)
Matsukawabishi (écorce de pin)
Raïmon (éclairs en zigzag)
Same komon (écailles de requin)
Sayagata (manji)
Seigaiha (vagues)
Shippo (cercles entrelacés)
Tatewaku (lignes ondulant)
Uroko (triangles)
Yagasuri (empennes)

Pour exercer votre regard, laissez-moi vous présenter deux courtisanes immortalisées en 1813 par Kitagawa Shikimaro. Chacune de ces estampes comporte au moins six de ces motifs !

Vous remarquerez aussi la lèvre inférieure teintée en vert, une mode de l’époque Bunka-Bunsei (1804-1830).